mardi 18 novembre 2008


Histoire et repères
Procès de Nuremberg : Crimes contre l’humanité de la grande industrie pharmaceutique

Photo : siège social de l’IG Farben à Francfort

Natural News, Gabriel Donohoe, 18 octobre 2008


Après la Deuxième Guerre Mondiale, des dizaines de Nazis suspectés de crimes de guerre ont été poursuivis par les Alliés dans le Palais de Justice de Nuremberg, la ville de naissance du parti nazi. Les accusés étaient tirés non seulement de l’armée, mais aussi du domaine médical, judiciaire, administratif, industriel, et d'autres secteurs de la machine de guerre allemande.

Parmi les industriels accusés de crimes contre l'humanité il y avait 24 gestionnaires de l'IG Farben, une organisation sans qui, selon le procureur en chef étasunien Telford Taylor, la Seconde Guerre Mondiale n'aurait pas été possible.


En 1925, InteressenGemeinschaft Farben (Communauté d’Intérêts Farben), est devenu un puissant cartel de firmes chimiques et pharmaceutiques allemandes, comme Bayer (le fabricant de l'aspirine), BASF, Agfa, et Hoechst (aujourd’hui Aventis). En 1933, le groupe IG Farben était devenu l’industrie de produits chimiques et pharmaceutiques la plus important du monde. Et même aujourd'hui, même si le nom IG Farben n’est plus utilisé, ses compagnies demeurent les plus puissantes transnationales du globe dans le domaine des produits pharmaceutiques, chimiques et de l’agrochimie.

Le cartel IG Farben fut déterminant dans l'effort de guerre nazi, en l’alimentant en carburant synthétique, caoutchouc, et autres produits chimiques. Il a aussi fabriqué le Zyklon-B, un gaz neurotoxique utilisé pour tuer des millions de gens dans les camps de concentration d'Auschwitz, de Birkenau et d'ailleurs. Plus tard, le cartel connu sous le nom de Chemiste du Diable, a utilisé des détenus non volontaires des camps de concentration comme des forçats et des cobayes pour tester des produits chimiques et pharmaceutiques, et des vaccins. Des dizaines de milliers en sont morts, et ceux qui sont devenus trop malades pour être de quelque utilité ont été assassinés dans les chambres à gaz.

IG Farben collaborait étroitement avec le régime nazi et la SS, et était sans doute la dynamique la plus importante dans la conduite de la machine de guerre nazie, faisant don de quelque 80 millions de reichsmarks en échange des industries de produits chimiques, pharmaceutiques et pétrochimiques, confisquées dans les pays occupés. Pourtant, ce cartel n’aurait pu être en situation d’un tel pouvoir sans d’énormes investissements de John D. Rockefeller et de sa Standard Oil Company. Ensemble, avec Rockefeller, ils ont créé une société appelée Standard IG Farben.

En 1938, bien qu'il savait qu'il serait utilisé à des fins guerrières, Rockefeller a été en mesure d'organiser pour IG Farben une expédition de 500 tonnes de plomb tétraéthyle, dont avait besoin la Luftwaffe pour le carburant des avions. Étonnamment, un an plus tard, avec la guerre sur le point d’éclater, il leur a procuré pour jusqu'à 20 millions de dollars de plomb tétraéthyle, ce qui a permis à Hitler de commencer la guerre aussitôt, en attaquant la Pologne et la France.

Même jusqu’à une période aussi tardive que 1942, il a fourni les nazis avec de l'huile déroutées à travers la Suisse, et ravitaillé les sous-marins allemands dans les îles de la Manche. Quand, il fut inculpé en vertu de la loi du « commerce avec l'ennemi, » Rockefeller s’en est tiré avec un « simple tape sur les doigts » (5.000 dollars d'amende) quand le Président Roosevelt mit brusquement fin à l'enquête sur l’injonction du Ministère de la Guerre. (Le mauvais patriote Rockefeller avait menacé d’arrêter de fournir aux États-Unis le pétrole capital en temps de guerre [1].)

IG Farben a continué à construire le plus grand complexe industriel d’Europe à Auschwitz pour fabriquer des produits chimiques et des explosifs pour l'effort de guerre allemand. L'entreprise a été financée par la Deutsche Bank à hauteur de près d'un milliard de reichsmarks. Ce complexe, connu sous le nom de IG Auschwitz, couvraient quelque 24 kilomètres carrés, en incluant le camp de concentration duquel il tirait une énorme réserve de travailleurs esclaves. Les directeurs de l’IG Farben ont contribué à la transformation de cet énorme complexe plus grand camp d'extermination de l'histoire humaine.

À plusieurs reprises, quand l’ordre de bombarder le complexe était donné par les Alliés, Rockefeller a usé de son influence par l’intermédiaire de John J. McCloy, l’assistant du Ministre de la Guerre (un ancien conseiller juridique de l’IG Farben), pour faire annuler les bombardements au grand désespoir des commandants des forces alliées. En outre, pas une bombe n’est tombée sur le siège social de l’IG Farben à Francfort en Allemagne. Abasourdissant, à une époque où les villes industrielles allemandes étaient couramment bombardées et pulvérisées, y compris Francfort elle-même.

Au procès de Nuremberg, 24 directeurs de l'IG Farben et d’autres industriels ont été inculpés de génocide, d'esclavage, et d'autres crimes contre l'humanité. Nombre de ces malfaiteurs sans scrupules ont plus tard joué un rôle clef dans le rétablissement de plusieurs compagnies de l’IG Farben en tant qu’énormes acteurs de l'industrie pharmaceutique et chimique, non seulement en Allemagne mais aussi dans toute l'Europe et aux États-Unis. Et plusieurs de ces anciens Nazis serait au centre de l'élaboration de l’association commerciale pan-européenne devenue aujourd’hui l’Union Européenne.

Le Dr Fritz ter Meer, directeur de l’IG Farben, qui était directement impliqué dans la mise au point du gaz neurotoxique Zyklon-B, qui a tué des millions de Juifs, fut condamné à sept ans de prison, mais était libéré après quatre ans grâce à l'intervention de Rockefeller et John J. McCloy, alors Haut Commissaire des États-Unis en Allemagne. Fritz ter Meer, un non repenti coupable de génocide et de crimes contre l'humanité, revint travailler chez Bayer, où il assuma la fonction de président pendant plus de 10 ans, jusqu'à 1961.

Ce même ter Meer, un criminel de guerre nazi reconnu coupable, devint l'un des initiateurs de la Commission du Codex Alimentarius en 1962, un groupe nourri par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), l'Organisation des Nations Unies pour l’Alimentation et la Nourriture (FAO), et la récente Organisation Mondiale du Commerce (OMC).

Le Codex Alimentarius, soi-disant créé pour protéger la santé du consommateur et garantir les pratiques loyales dans le commerce alimentaire, est en réalité extrêmement hostile au monde des vitamine, compléments alimentaires, et alimentation naturelle, et semble déterminé à le détruire. Le Codex est contrôlée par la grande industrie pharmaceutique, dont la seule raison d'être est de favoriser la maladie pour vendre davantage de produits pharmaceutiques.

Karl Wurster, le président de la compagnie Degesch de l’IG Farben, qui fabriqua le gaz neurotoxique Zyklon-B, fut inculpé en tant que criminel de guerre, mais fut en quelque sorte acquitté. Il servit ensuite pendant 13 ans de directeur général chez BASF, jusqu'à 1974.

Hans Globke, coauteur des lois raciales anti-juives de Nuremberg, fut responsable de la rédaction des nouvelles lois du Grand Reich Nazi européen dans les pays occupés. Après la guerre, Globke devint Ministre du gouvernement du Chancelier Konrad Adenauer et servit de 1949 à 1963. Libre de toute supervision parlementaire, il contrôlait les services secrets. Il fut aussi directement impliqué avec le cartel du pétrole et de la drogue dans la conspiration sur la façon de prendre le pouvoir sur les marchés européens et les contrôler au sein de la nouvelle Communauté Économique Européenne (CEE), ancêtre de l'actuelle Union Européenne (UE).

Walter Hallstein fut un éminent professeur de droit nazi qui déclara en 1939 : L’une des plus importantes lois (dans la partie occupée des pays européens) est la « loi sur la protection du sang et de l'honneur allemand. » Cet avocat de loi nazie « sang et honneur » joua un rôle dans la création de la structure de base de l'Union Européenne et devint le premier chef de la Commission Européenne, un organe exécutif adroitement conçu pour gouverner l'Europe en dehors de toute ingérence de contrôle démocratique. Cette absence de démocratie est assez évidente à Bruxelles, en particulier aujourd'hui. En 1957, le Chancelier Adenauer et Hallstein signèrent le premier traité européen à Rome.

[Beaucoup d’informations présentées ici sur l’IG Farben viennent du Dr Matthias Rath, un militant infatigable pour la liberté de santé et fléau de la grande industrie pharmaceutique. Le Dr Rath, dans le cadre de la Freedom of Information Act, a réussi à obtenir du Tribunal des Crimes de Guerre des dizaines de milliers de documents de l’IG Farben gardés secrets pendant six décennies, et il les a affiché sur son site Internet. Voir www.profit-sur-life.org et www4.dr-rath-foundation.org. Ces sites sont incroyables. Vous y passeriez des heures ! Regardez les articles sur le Codex Alimentarius, l'industrie pharmaceutique, et la série de lettres ouvertes du Dr Rath au New York Times.]

La domination de l'industrie pharmaceutique sur la pratique médicale actuelle et son influence insidieuse sur la législation gouvernementale, sont l’héritage direct de l’IG Farben et des criminels de guerre nazis, qui dirigèrent le cartel initial.

Les crimes sont toujours commis aujourd'hui à une échelle tellement grande que des millions de gens en sont morts depuis la Deuxième Guerre Mondiale et des millions d'autres sont empoisonnés chaque jour par ces monstres. Il est impossible dans ce court article de détailler entièrement l’horrible criminalité des grandes industries pharmaceutique, alimentaire, biotechnique, et de leurs sbires politiques, mais les paragraphes qui suivent donnent quelques aperçus sur la mort et le chaos qu'ils provoquent.

Selon un récent rapport rédigé par les docteurs Gary Null, Carolyn Dean, et d’autres, quelques 780.000 Étasuniens sont tués par leur médecin ou par le système de santé chaque année. 106.000 meurent des doses de médicaments prescrites correctement et ordonnées comme il se doit, et plus de deux millions sont hospitalisés à cause des effets secondaires des ordonnances de médicaments homologués par la FDA.

Les directeurs des compagnies qui fabriquent ces médicaments connaissent bien les dégâts qu'ils génèrent, mais font tout leur possible pour garder du public ces informations funestes. Ces gangsters sont mus par l'avidité et le profit, ils ne pourraient s’inquiéter moins de la santé des gens ou de leur vie. Un bon exemple est le scandale du Vioxx, un médicament qui a été maintenu sur le marché, alors même qu’il était à l'origine de crises cardiaques [2]. Le Vioxx est soupçonné d'avoir tué entre 50.000 et 70.000 personnes [simplement aux USA, ndt]. Les autres drogues dangereuses incluent le Baycol, Bextra, Celebrex, et la liste continue . . .

La grande industrie pharmaceutique est impliquée dans le trucage des tests des médicaments, sert de nègres pour écrire les rapports des chercheurs « indépendants, » soudoie les hommes politiques, les médecins et les scientifiques, et cache les rapports défavorables à ses médicaments. Un exemple de collusion particulièrement horrible, paru récemment sur Natural News, fut le cas du Dr Biederman de l'université de Harvard, qui avait préconisé des médicaments altérant l'esprit à des enfants tout en étant payé secrètement 1,6 millions de dollars par des compagnies pharmaceutiques.


Et, pour garder son marché, la grande industrie pharmaceutique est très active pour étouffer les vitamines, les minéraux, et la nourriture naturelle de santé. Elle supprime aussi toute information sur la santé naturelle [3] et est énergiquement aidé en cela par ses amis de la FDA [4] et des autres organismes gouvernementaux. Elle est assistée par des hommes politiques complices qui font passer des lois en sa faveur, et demeure incontestée dans les grands médias qui ont plus d’affinité envers les revenus publicitaires qu’à l’égard de la santé des gens.

La grande industrie alimentaire nous empoisonne avec des additifs chimiques, conservateurs, colorants, arômes, acides gras trans et autres ingrédients nocifs : aspartame, glutamate de sodium, benzoate de sodium, bromate de potassium, nitrite de sodium, et des milliers d'autres. Les effets mortels de ces additifs sont bien connus et documentés. Il n'est pas étonnant que nous soyons pour la plupart malades et que nous le devenons de plus en plus.

Les gouvernements ferment les yeux sur le délit d’intoxication et soutiennent activement le déversement de fluor et de chlore dans l'eau, l'usage du mercure dans les vaccins et en art dentaire, et une foule d'autres actes répréhensibles commis au prétexte de favoriser la santé publique.

Toujours avec la complicité du gouvernement, la grande industrie de la biotechnologie nous empoisonne avec des cultures modifiées génétiquement, dans un complot visant à breveter cette même nourriture qui nous nourrit depuis des centaines de milliers d'années. Les cultures génétiquement modifiées représentent l’une des plus grandes menaces à notre santé et survie sur cette planète. Nul ne sait vraiment quels effets cette mangeaille modifiée génétiquement aura sur nous et les générations futures. La nourriture génétiquement modifiées est actuellement soupçonnée de provoquer la maladie du Morgellon.

Et quel genre de tordu à l’esprit malveillant pourrait inventer une semence « Terminator, » conçue pour devenir stérile après récolte pour que l'agriculteur soit obligé d'acheter d’autres graines à ces compagnies déjà extrêmement riches. Et si ces semences Terminator infiltraient les cultures aux quatre coin du monde ?

L’activité des grandes industries, pharmaceutique, alimentaire, et de la biotechnologie est bien connue par les abonnés de NaturalNews.com et peut être trouvée avec le moteur de recherche du site.

Maintenant il est temps de dire, « Assez ! »

Ce mal absolu doit prendre fin. Les responsables doivent être arrêtés et mis en demeure de répondre de leurs crimes. Nous avons besoin de retourner à Nuremberg pour terminer un travail commencé il y a environ 60 ans.

Je propose de compiler un dossier de tous les gens mentionnés ci-dessus, des industries, médias, politique, organismes de régulation , finances et de partout où c’est opportun, et de les inscrire avec leurs crimes contre l'humanité dans le dossier. Il pourrait être présenté comme dossier d’accusation lorsque viendra le jour du jugement. Ces individus, qui agissent contre la santé de la population de la planète, doivent être traités en conséquence.

Quand un nom et un crime sont portés sur la liste, cet individu doit être notifié formellement qu’il sera sanctionné s’il ne change pas son comportement, afin qu'il ne puisse pas raconter qu'il était inconscient de son crime ou qu'il ne faisait que « suivre des ordres. » Cela lui donnera aussi une chance de désavouer ses crimes et de rejoindre les rangs des promoteurs de la santé naturelle et de la liberté de choix.

Ce dossiers pourrait se faire connaître sous le nom de « La Liste de Nuremberg » et être largement diffusé afin qu'il pénètre vite la conscience publique. Bientôt, la mention seule de « La Liste de Nuremberg, » à la différence de « La Liste de Schindler, » qui proposait l'espérance et le salut, inspirerait la crainte de la responsabilité et du châtiment chez ceux qui s’obstinent à empoisonner leurs semblables. Peut-être qu’un organisme respecté comme Natural News pourrait accepter d’établir cette liste.

En étant à l’origine de poursuites judiciaires contre quelques-uns de ces délinquants corporatifs, le Dr Matthias Rath a déjà commencé à mettre en marche les choses. En Juin 2003, la Fondation du Dr Rath a déposé plainte officiellement contre les intérêts pharmaceutiques particuliers derrière le « business de la maladie » à la Cour Pénale Internationale (CPI) de La Haye aux Pays-Bas. Le CPI est la première cour mondiale pour les affaires de génocide et autres crimes contre l'humanité.

Le Dr Rath a dit, « Nous sommes convaincus du fait qu'un jour proche ces accusations seront à l’origine d’un procès international au CPI, qui fera de l’ombre à la renommée du procès de Nuremberg en 1947-48. »

Parmi les accusés il y a George W. Bush, Tony Blair, Dick Cheyney, Donald Rumsfeld, et d'autres membres de l'administration républicaine. Sont également cités des cadres de l'industrie pharmaceutique, chimique, pétrolière, médiatique, des institutions financières, et d'autres individus coupables. Pour plus de détails, voir ici :

http://www4.dr-rath-foundation.org/The_Hague/complaint/complaint04.htm

Le Dr Rath doit être loué pour ses efforts et aidé par tous les moyens possibles.

Que commence la fin de la tyrannie corporative pour permettre à la bonne santé et au fair-play de prévaloir sur cette belle planète que nous avons vandalisée.


Original : http://www.naturalnews.com/024534.html
Traduction libre de Pétrus Lombard pour Alter Info

Le texte original en anglais contient beaucoup d’autres liens que je n’ai pas inséré dans la traduction. Chacun d’eux fait référence à un groupe d’articles de Natural News sur un même thème. Les lecteurs intéressés peuvent s’y référer pour approfondir ces questions.


Notes de traduction

[1] Les USA cédant à ce chantage de Rockefeller est tellement loufoque que ce prétexte est une farce aussi grande que le procès de Nuremberg lui-même. Puisque Rockefeller a aidé de toute évidence à lancer et à faire se prolonger la guerre pour en tirer des bénéfices, un procès juste n’aurait eu qu’à décréter la réquisition de ses moyens de production pétrolière et l’aurait fait pendre avec les autres chefs nazis.

[2] Le livre Au nom de la science. Le choc : Tous cobayes depuis un siècle !, de Andrew Goliszek et Thierry Souccar, évoque, entre autres monstruosités aux USA et en France, cette sinistre affaire, avec le traînage de pieds honteux de notre AFSSAPS, qui fut certainement l’agence de régulation la plus lente du monde à agir en faveur de la santé publique.

[3] Les plupart des médecins répètent complaisamment la désinformation des labos en racontant par exemple que la vitamine C est inutile, voire dangereuse (selon la dernière savante désinformation elle ferait même épaissir les artères). Linus Pauling avait pourtant bien démontré de manière irréfutable ses bienfaits inestimables et son innocuité à dose massive dans son livre Abusez des vitamines !. Elle est d’ailleurs amplement utilisée par des médecins comme Matthias Rath ou Alain Scohy. Mais ce produit facile à fabriquer, bon marché et, ce qui est pire pour eux, efficace, pourrait ruiner les fabriquants de produits douteux et chers.

L’AFSSAPS, quant à elle, fait tranquillement avancer le Codex Alimentarius. De temps en temps, elle décrète l’interdiction dune plante utilisée depuis des millénaires, comme le millepertuis. Les plantes efficaces et sans effet secondaire font de l’ombre à des médicaments dangereux et inefficaces.

L’AFSSAPS fournit aussi des débouchés à ses compères en faisant la promotion d’un poison violent : À la page 91 de son rapport « Le Mercure des amalgames dentaires, » elle décrète : « L’amalgame reste le matériau le mieux adapté pour la restauration des dents. . . » après avoir exposé ses multiples dangers dans les pages 10 à 24. Ces dangers sont tirés de nombreuses études étrangères, citées dans le document, qui exposent clairement que le mercure dentaire est à l’origine de la plupart des maladies émergentes.

[4] Il suffit au lecteur français de traduire FDA par AFSSAPS, ces deux organismes ont le même comportement louche.


Lundi 20 Octobre 2008

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